On aperçoit du coin de l’œil la pratique de la méditation comme une pratique austère ou ascétique. Voici venir le "je me retire du monde", le "ne pas bouger, ne rien faire, s'abstenir", et encore le "je fais le vide". Alors, certes, certaines pratiques peuvent s'orienter vers ces choses là, emprunter ces chemins abruptes et souvent arides.
Mais la plupart du temps, la méditation se révèle être tout à l'opposé, c'est une pratique d'abondance, d'altruisme, de victoire et de félicité. Je ne parle pas des moments d’émergence du mysticisme au sein d'une quelconque séance, mais de l'impression, l'empreinte que la pratique laisse en général, en nous, en notre esprit, notre corps et notre âme ou cœur. On s'assoit, on dresse notre buste et l'abondance jaillie comme une fontaine perpétuelle. Toujours là, toujours présente, même si le flux peut de temps à autre se tarir légèrement. Qui veut boire jusqu'à épuiser la source? Qui veut laisser les flots déborder? Méditer c'est permettre à la source de jaillir. Pas besoin de faire de réserves,
Tout est là!
Mais la plupart du temps, la méditation se révèle être tout à l'opposé, c'est une pratique d'abondance, d'altruisme, de victoire et de félicité. Je ne parle pas des moments d’émergence du mysticisme au sein d'une quelconque séance, mais de l'impression, l'empreinte que la pratique laisse en général, en nous, en notre esprit, notre corps et notre âme ou cœur. On s'assoit, on dresse notre buste et l'abondance jaillie comme une fontaine perpétuelle. Toujours là, toujours présente, même si le flux peut de temps à autre se tarir légèrement. Qui veut boire jusqu'à épuiser la source? Qui veut laisser les flots déborder? Méditer c'est permettre à la source de jaillir. Pas besoin de faire de réserves,
Tout est là!