La pratique de la méditation nous touche dans notre curiosité. On veut essayer. On veut s'y mettre. Et comme on voit la méditation au début comme une activité comme une autre on croit que l'on doit acquérir un ensemble de gadgets, de folklores associés et indispensables. Alors les premiers supports, les plus vendus actuellement sont les coussins, qui portent le nom pas français de zafu. Ce peut être des coussins demi lune, ou en rond. Ensuite il y a les bancs en bois ou imitation. Qui donnent une assise différente, les pieds passent en dessous des fesses et du banc. Les coussins sont adaptés à une posture en lotus, demi lotus ou tailleur. L'usage de support est utile au début, et pour beaucoup. Mais ce n'est pas universel.
Personnellement, je pense avoir tout testé de ces supports. Mon préféré est celui fait maison. A partir de vieux vêtements qui traînaient, prenaient de la place, ne servaient plus. Je les ai empilé et ai fait appelle à un membre de ma famille, disposant d'un savoir faire en couture, pour envelopper le tout.
Le support permet de mieux supporter physiquement la posture assise proche du sol, dont soulignons-le les occidentaux sont étrangers. Il faut surélever, de 10-12 centimètres en grosse moyenne, le postérieur du sol. De cette façon, la "circulation" dans les jambes s'effectue mieux, évitant au maximum les fourmillements et coupures intempestives. On peut trouver un rocher, un gros caillou et se poser dans la nature, dans un parc. Dans la littérature certains font référence au tas de feuilles que l'on agglomère afin de créer un support sur lequel s'asseoir. Il est souvent question aussi d'être sous un arbre ou proche. Nous, si citadins, nous pouvons le faire dans nos parcs, dans nos maisons, appartements, dans des lieux adaptés, spécifiques, parfois des temples.
Mais la posture assise (lotus) n'est pas obligatoire. De fait, si elle présente des "avantages" notables, elle n'est pas très adaptée à nos habitudes et nos morphologies contrairement à la plupart des indiens, et globalement des asiatiques. On peut méditer allongé sur le sol, sur un matelas, assis sur une chaise ou un banc public. Ce ne sont pas des façons moins "bonnes" de méditer. Car la posture, si elle peut définitivement avoir une grande importance n'est rien par rapport à la méditation en elle même. La posture peut même varier, bien que beaucoup conseillent avec raison d'être fidèle à une seule, surtout au début de l'aventure. Tenez on pourrait même méditer debout! Tout ça pour dire que vous n'êtes pas obligé d'acheter spécialement un matériel, sauf si psychologiquement cela permet de vous engager, ce qui est bon. Faites appelle aux ressources disponibles dans votre environnement est aussi un acte engageant, et plus enracinant encore! Cela entoure la pratique de la méditation d'une aura ou d'un élan de plaisir créatif et de localité. Stabilité.
Personnellement, je pense avoir tout testé de ces supports. Mon préféré est celui fait maison. A partir de vieux vêtements qui traînaient, prenaient de la place, ne servaient plus. Je les ai empilé et ai fait appelle à un membre de ma famille, disposant d'un savoir faire en couture, pour envelopper le tout.
Le support permet de mieux supporter physiquement la posture assise proche du sol, dont soulignons-le les occidentaux sont étrangers. Il faut surélever, de 10-12 centimètres en grosse moyenne, le postérieur du sol. De cette façon, la "circulation" dans les jambes s'effectue mieux, évitant au maximum les fourmillements et coupures intempestives. On peut trouver un rocher, un gros caillou et se poser dans la nature, dans un parc. Dans la littérature certains font référence au tas de feuilles que l'on agglomère afin de créer un support sur lequel s'asseoir. Il est souvent question aussi d'être sous un arbre ou proche. Nous, si citadins, nous pouvons le faire dans nos parcs, dans nos maisons, appartements, dans des lieux adaptés, spécifiques, parfois des temples.
Mais la posture assise (lotus) n'est pas obligatoire. De fait, si elle présente des "avantages" notables, elle n'est pas très adaptée à nos habitudes et nos morphologies contrairement à la plupart des indiens, et globalement des asiatiques. On peut méditer allongé sur le sol, sur un matelas, assis sur une chaise ou un banc public. Ce ne sont pas des façons moins "bonnes" de méditer. Car la posture, si elle peut définitivement avoir une grande importance n'est rien par rapport à la méditation en elle même. La posture peut même varier, bien que beaucoup conseillent avec raison d'être fidèle à une seule, surtout au début de l'aventure. Tenez on pourrait même méditer debout! Tout ça pour dire que vous n'êtes pas obligé d'acheter spécialement un matériel, sauf si psychologiquement cela permet de vous engager, ce qui est bon. Faites appelle aux ressources disponibles dans votre environnement est aussi un acte engageant, et plus enracinant encore! Cela entoure la pratique de la méditation d'une aura ou d'un élan de plaisir créatif et de localité. Stabilité.